Christophe Mangou, avant les premières notes soyeuses et mystérieuses, de l’adagio de Lekeu fit écouter le silence. C’est rare !

Vite, on se rendit compte des dons de ce jeune homme… il sait polir les sonorités, les affiner, les rendre expressives, capables de traduire des sentiments ; cela parut indéniable dans la 5ème symphonie de Schubert, qu’il dirige de mémoire, en donnant l’exemple d’un travail consciencieux, soigné… A la tête de notre orchestre, c’est un bien joli résultat qu’il vient d’obtenir.

Pau, Février 1999


Category: Revue de presse generale

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